5 CLÉS POUR CULTIVER SON OPTIMISME

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Le sujet de l’optimisme est pertinent en temps de crise. Les Français seraient plus pessimistes que les habitants du Bangladesh. Face aux obstacles, l’optimiste envisagerait l’avenir avec des lunettes roses ? Une définition trop simpliste pour s’y arrêter. Dans le cadre des échanges organisés par le réseau normand Femmes & Challenges, J’ai Piscine Avec Simone a recueilli les bons « tips » pour donner une grande claque à la morosité.

A chacune sa définition de l’optimisme. Voir le verre à moitié plein ou à moitié vide, n’envisager que le bon côté des choses. Un bon début mais insuffisant. Nadine Audibert, formatrice et dirigeante de la société Imago estime que l’optimisme se décide. « On peut devenir optimiste à tout âge, ça se cultive, ça se développe et s’entraine » explique-t-elle. Car le cerveau est un organe dynamique qui évolue et peut créer des chemins de pensées différents. Pour l’y aider, la coach professionnelle livre 5 outils à mettre en oeuvre immédiatement.

  • Le décider

Ca parait évident. Mais entrainer son cerveau à porter un regard positif se décide. C’est une attention de tous les instants pour prendre conscience de ses mauvaises habitudes de pensées. « C’est une méthode de petits pas, un acte volontaire qui oblige à penser autrement ».

  • Ecrire un carnet de gratitude

Répondre quotidiennement à ces questions : En quoi je remercie la vie dans ce que j’ai vécu aujourd’hui ? En quoi je me remercie dans ce que j’ai fait pour moi ou pour les autres et dont je suis fière dans ma journée ? Quelle émotion positive j’ai ressenti aujourd’hui ? Autant d’interrogations pour se connecter à ses ressentis explique Nadine Audibert. Car émotions et pensées s’influencent en permanence.

  • Méditer

Oui c’est à la mode et tant mieux ! De multiples applications existent pour des méditations guidées. Car faire le vide dans son esprit est un véritable entrainement lorsque l’on sait que nous sommes traversés quotidiennement par 60 000 pensées ! Pas de panique, la zénitude se forge au fur et à mesure. Et ça ne vient pas forcément du 1er coup. Privilégiez un moment de calme dans la journée et lancez vous ! L’avantage ? « En prenant du recul par rapport à ses pensées, on arrête de se plaindre ». Un bienfait pour soi-même et son entourage.

  • Passer à l’action

Pour éviter de de projeter ses inquiétudes au long cours passez à l’action. Faire évite les cogitations et les pensées qui moulinent. Au pire, cela évite de creuser son syndrome de l’imposteur et de se répéter en boucle « ça ne marchera jamais ». L’action va de pair avec le verbe oser. « Envoyer ce mail qui traine sur votre bureau ou ce coup de fil dont vous redoutez l’issue » avance Houria Jebali, jeune cheffe d’entreprise. Les résultats peuvent vous surprendre !

  • S’inspirer de « role modèles »

Rien de tel que de regarder des films, des séries avec des héroïnes au tempérament inspirant. Pouvoir s’identifier à la réussite des autres est un élément positif. Evidemment, on oublie les icones inaccessibles dont les success stories semblent trop éloignées de nos réalités. De plus, ces femmes au puissant storytelling n’incarnent qu’elles mêmes

  • Epingler un mantra

Il y en a forcément un qui vous colle à la peau. Trouvez le vôtre et répétez le à l’envie. La pensée positive se met en route. Idéal pour calmer un mental un peu trop envahissant et attendre une certaine forme de sérénité.

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