Simone est un média engagé qui au fil de son développement a fait de ses lectrices des membres à part entière de la rédaction. Nous nous appuyons sur notre communauté pour produire un contenu pertinent au plus près des besoins des femmes de notre génération. Nous souhaitons que chacune d'elle contribue à co construire notre média d'un point de vue éditorial. Voici notre dream team !
Après avoir consacré plus de vingt ans à la communication et au marketing, j’ai décidé de m’impliquer dans des projets qui ont du sens pour moi !
Mon histoire personnelle m’a fait prendre conscience, tout au long de ma carrière que la place de la femme n’était pas encore acquise dans nos sociétés. Après 45 ans c’est encore pire, les femmes sont oubliées, effacées, à peine considérées, on reste une variable d’ajustement !
Mon chemin a croisé par deux fois Sophie Dancourt, la seconde a été la bonne afin de rejoindre l’équipe et de mettre mes compétences au service de J’ai Piscine avec Simone et de cette génération de femmes dont je fais partie afin de leur donner la « boite à outils » pour avancer.
Nos premières réalisations, «J’ai Talk avec Simone» et «J’ai Atelier avec Simone», des offres spécifiques pour nos «Simone».
Sandrine Doppler
Marketing & Développement
12 années de rédaction-en-chef de magazine senior et vous comprendrez pourquoi j’adore Simone ! Ces expériences professionnelles m’ont appris combien Femme plus de 50 ans, entre dans la catégorie des « oxymores » : des termes qui cognent, qui s’affrontent pour nous rendre invisibles dans une société qui a renoncé à nous faire les yeux doux. Mais les fantômes se rebiffent, nous sommes encore vivantes ! Avec Sophie Dancourt, nous avons lancé « Vieille, c’est à quelle heure ? ». Ce Podcast c’est le nôtre, c’est le vôtre. Il s’adresse à toutes celles que l’ON trouve trop fragiles pour faire le job, trop ridées pour apparaître, trop vieilles pour être augmentées.
Catherine G Hoyau
Journaliste presse féminin
co-productrice du podcast "vieille c'est a quelle heure ?"
Les générations de ma mère et ma grand-mère s’étant battues pour les droits pour les femmes, je n’ai pas ressenti le besoin de m’impliquer pour cette cause dans ma jeune vie d’adulte. A la quarantaine, j’ai réalisé que ce combat ne s’arrêtait jamais, qu’on essayait de nous reprendre nos droits chèrement acquis. J’ai décidé de rejoindre le projet de JPAS, pour informer et ouvrir les consciences face à cette réalité sociétale. Informer et éduquer sont les seuls moyens pour faire évoluer les comportements. Les quinquas sont un vrai pouvoir au sein de la société grâce à leur expérience, leur talent et leur liberté.